home

La Dôle

Le massif de la Dôle est en Suisse et culmine à 1677 m. Prévoyez toujours d’avoir vos papiers d’identité sur vous. Son ascension est une magnifique randonnée panoramique dont le point culminant est un lieu d'observation formidable sur le bassin du Léman, la chaîne des Alpes et le Mont Blanc. Une table d’orientation au sommet vous permettra de vous repérer.

Randonnée pédestre :
Un parcours pédestre balisé de 8.5 km pour découvrir ce point de vue vous est proposé par l’Office de tourisme. Fiche du circuit à acheter à l’Office de tourisme (fiche n°19) ou à télécharger : http://www.openrunner.com/index.php?id=1835519

En hiver :
Le domaine skiable alpin franco-suisse regroupe les pistes et remontées mécaniques du massif français des Tuffes et du massif suisse de La Dôle, reliables skis aux pieds. En bonus, profitez d'une vue spectaculaire sur la chaîne des Alpes et le Mont-Blanc depuis le sommet de La Dôle ! Le domaine franco-suisse est accessible depuis les portes / parkings des Jouvencelles, du Balancier, de la Darbella et de La Dôle. En hiver, possibilité pour les piétons de rejoindre le sommet en télésiège.

Anecdotes :
Le 26 octobre 1779, lors d'un voyage qui devait le mener à Genève, le célèbre penseur allemand J-W von Goethe découvrit la Dôle et son panorama grandiose et rédigea dans son carnet de voyage : « Il n'y a pas de termes pour exprimer la grandeur et la beauté de ce spectacle ».

Le radôme de la Dôle : le sommet du massif est célèbre pour son drôle de champignon blanc visible depuis des kilomètres à la ronde. C’est un radôme qui protège l’antenne radar qui est à l’intérieur contre le vent et le givre. Cette installation radar, qui existe depuis 1954, a pour mission d’assurer la navigation aérienne, mais c’est aussi un centre météorologique. Avec son rayon d’action de 250km, la station prend en charge 200 avions par jour ; elle est ainsi l’une des pierres angulaires du réseau radar suisse et européen. Le radar interroge les avions sur leur identité, leur altitude, leur position et leur destination. Les données récoltées sont transmises au centre de contrôle aérien de Genève afin d’optimiser le trafic. Jusqu’en 1997, il y avait une présence humaine, mais depuis tout est automatisé et seules les réparations nécessitent encore la venue de personnel.

<